J’ai obtenu mon baccalauréat en enseignement de l’anglais langue seconde à l’Université Concordia en 2006, et j’ai rapidement développé une passion pour l’accompagnement des élèves en difficulté en lecture, en écriture et en mathématiques. Au cours des dix dernières années, mon travail s’est concentré exclusivement sur les élèves considérés comme à risque ou ayant des besoins d’apprentissage particuliers, notamment ceux présentant une dyslexie, un TDA ou une dyscalculie.
Afin d’approfondir mes connaissances, j’ai obtenu une maîtrise en psychologie de l’éducation à l’Université McGill (2021), motivée par un intérêt grandissant pour les fondements neurologiques de la lecture. J’ai eu le privilège d’étudier sous la direction de la Dre Gigi Luk, une ancienne professeure de Harvard, dont l’expertise en psychologie, en éducation et en neurosciences a profondément influencé mon approche. Sous sa supervision, j’ai appris à évaluer les interventions et à déterminer celles qui sont alignées avec les recherches les plus récentes en neurosciences cognitives.
J’ai également suivi un séminaire de deuxième cycle sur la cognition mathématique animé par le Dr Adam Dube, puis j’ai rejoint son laboratoire. Mes recherches portaient sur l’évaluation d’applications mathématiques disponibles sur l’Apple Store, en les comparant à des critères reconnus de soutien et de rétroaction efficaces pour les élèves.
Au fur et à mesure que mon intérêt pour l’enseignement des mathématiques de manière significative grandissait, j’ai décidé d’explorer, dans le cadre de mon mémoire, l’importance de mettre en lumière les structures algébriques intégrées à l’arithmétique. En résumé, j’ai constaté que lorsque les enseignants attirent explicitement l’attention des élèves sur ces structures cachées, ces derniers comprennent mieux des concepts complexes comme la valeur de position — une compétence fondamentale directement liée à la notation exponentielle et à l’algèbre.
Afin d’approfondir mes connaissances, j’ai obtenu une maîtrise en psychologie de l’éducation à l’Université McGill (2021), motivée par un intérêt grandissant pour les fondements neurologiques de la lecture. J’ai eu le privilège d’étudier sous la direction de la Dre Gigi Luk, une ancienne professeure de Harvard, dont l’expertise en psychologie, en éducation et en neurosciences a profondément influencé mon approche. Sous sa supervision, j’ai appris à évaluer les interventions et à déterminer celles qui sont alignées avec les recherches les plus récentes en neurosciences cognitives.
J’ai également suivi un séminaire de deuxième cycle sur la cognition mathématique animé par le Dr Adam Dube, puis j’ai rejoint son laboratoire. Mes recherches portaient sur l’évaluation d’applications mathématiques disponibles sur l’Apple Store, en les comparant à des critères reconnus de soutien et de rétroaction efficaces pour les élèves.
Au fur et à mesure que mon intérêt pour l’enseignement des mathématiques de manière significative grandissait, j’ai décidé d’explorer, dans le cadre de mon mémoire, l’importance de mettre en lumière les structures algébriques intégrées à l’arithmétique. En résumé, j’ai constaté que lorsque les enseignants attirent explicitement l’attention des élèves sur ces structures cachées, ces derniers comprennent mieux des concepts complexes comme la valeur de position — une compétence fondamentale directement liée à la notation exponentielle et à l’algèbre.